COMMENT SURMONTER L’EFFORT MORAL ET PHYSIQUE
Le développement, d’un tel sujet ; qui a pour but d’aboutir sur l’activité sportive; c’est qu’il y a un fil directeur, que je vais développer, plus loin. Je suis plus orienté sur le sportif, que sur la neuropsychologie, bien que la psychologie, nous en faisons couramment, dans notre job d’entraineur.
Mais pour les nombreux cas, sur lesquels j’interviens régulièrement ; j’ai pris la décision, de vous présenter ce sujet, qui ronge, bons nombres d’entre nous.
De quoi s’agit-il ? Nous sommes dans une société, où, tout va très vite, nombreuses, nombreux, ont peur d’être laissé, sur le bas-côté de la route. Ces deux émotions négatives, qui sont : la peur, et l’anxiété ; qui arrivent, à tout âge. Vouloir rester dans le coup ; on s’accroche jusqu’à la fin, afin de faire voir, que l’on existe, ou une situation nouvelle. Nous fabriquons dans ces cas, du stress négatif.
Nous allons voir, et, comprendre, comment, certains ont du mal, à prendre le train en marche. Le raisonnement c’est fait sur trois piliers, générateurs d’émotions, positives, ou négatives
- LE PROFESSIONNEL : on se doit être proche de l’élite, et, être bien informé, sinon c’est le décrochage, avec ce qui en découle
- L’AFFECTIF ET FAMILIALE : la transmission de son savoir à ses enfants en complément de l’instruction reçu, mais aussi de l’affection, de toutes les parties sur le noyau familial
- LOISIR ET SPORTIF : se transforme en compétition d’égo, pour certain, alors qu’ils devraient être vecteur de bien-être
Les trois sont générateurs d’émotions «positives ou négatives », plus ou moins fortes, donc générateur de stress, ou contraintes. Avant d’aller plus loin, regardons brièvement ce qu’est le stress.
Pour le professeur Hans SELYE, ce sont des contraintes neurologiques, qui agressent l’organisme, on y reconnait trois phases, dans ce syndrome général d’adaptation :
- Phase d’alarme : les défenses agissent contre les différents chocs
- Phase de résistance : adaptation à l’agent stressant
- Phase d’épuisement : les phases 1 et 2, ne répondent plus
Les mécanismes de défenses, mettent en jeux le système surrénalien, mais surtout les mécanismes immunitaires. Il peut provenir de différentes manières ; chocs émotionnels, ou, des répulsions internes répétées, ou, une modification du comportement, due à une insociabilité hiérarchisée externe.
Il se traduit, par un état anxieux dépressif caractérisé par des troubles du sommeil, de l’attention, de la mémoire, a des réminiscences douloureuses interactives de la situation traumatique, avec comme maladie grave neurologique : la maladie bipolaire.
Nous avons des atténuations, ou, des disparitions provisoires, des symptômes par un traitement. Si vous ne prenez pas dès le début le problème à bras le corps, les symptômes reviendront très vite, à puissance X
- Le professionnel : est un facteur d’agressions fortes, moralement et physiquement.
Cinq étapes qui même au syndrome d’épuisement professionnel, mais aussi au-delà :
- Plaisir au travail : Emotion positive : le bon stress à ce moment, car il témoigne d’un dynamisme, mais aussi d’une réelle satisfaction, dans son activité. Il fait front à tous les aspects complexes et difficiles : C’est une personne épanouie dans son poste.
- Surmenage : C’est un seuil positif, et, négativité. Car au fil du temps ; le contexte se modifie, ce n’est plus une personne épanouie, car apparition du stress. Devant l’ampleur ; de la tâche, des responsabilités, la vie professionnelle, prend le pas sur l’affectif, et le familiale. C’est là que vous devez dire stop
- Acharnement : émotions négatives, le corps arrive à répondre encore, mais la personne ne parvient à déconnecter, il se met une très grosse pression, si bien que la qualité de son travaille en dépend. Son état est compulsif, et, refuse la délégation de la tâche. Sa vie familiale est au second plan : c’est le début de la descente.
- Désillusion : Emotions négatives qui se rajoutent, la colère qui est en vous : C’est le constat, que rien n’évolue, malgré tous ces efforts ; sa carrière stagne. Il est réellement fatigué. Apparitions des premiers signes cliniques : irritabilité, cynisme, troubles somatiques.
- Effondrement : Emotions négatives amplifiée, le stress, est tellement fort, si bien, que votre corps ne répond plus. Suite à cette hyper investissement, il décroche. Le travail devient pénible, n’a aucun sens à ses yeux. Anxiété plus stress amplifié, dans le meilleur des cas ce sera un burn out ; sinon la maladie bipolaire.
- Le Familiale et l’affectif : sont des vecteurs de bien, qui permettent de les soulager dans bien des cas, mais aussi de les atténuer, sauf si dans le cercle familiale il y a des agents agresseurs, qui complètent ce que nous venons de voir ci-dessus. J’ai classé des agents positifs qui apportent le bien.
- Transmission des valeurs
- Amour dans le cercle familial, réconfort.
- Accompagnement des émotions des enfants, et, de son compagnon, ou, de sa compagne
- L’affectif en générale
Quatre vecteurs de bien, il est claire que si, la situation est compliquée dans le cercle familiale ; les agents agresseurs, amplifie la situation neuro-physique
- Le loisir est le sport : qui doivent être un vecteur de bien fait, et, faire évacuer une partie du stress négatif accumulé. Mais voilà, nous sommes dans une société, d’élitisme, et, du ma tu vus. Ce qui doit être une détente se transforme là encore, une bagarre d’égo vis-à-vis de son entourage sportif. Sauf si la personne est humble et, reste dans le raisonnable ; donc prend ces activités, en détente ; elle fait entrer, des agents positif, et, permet de récupérer, et chasser le négatif, dans ce cas elle sera zen.
Vous avez un allié, le sommeil, qui est un récupérateur, Il vous met dans une état physiologique, qui se caractérise, par un repos comportemental, et, une perte plus ou moins complète, de la relation avec le monde extérieure. Ce qui veut dire une vraie coupure.
Cette coupure, permet en 7h, ou, 8h de vous ressourcer. Vous pouvez affronter votre journée. Donc ne pas négliger cette étape, ou, la tronquer, pour faire autre chose. Si vous êtes malgré les informations ci-dessus dans un état sophronique, soit être entre deux eaux, ou, sommeil plus réveil, allez voir un médecin, c’est qu’il y a une anomalie, du comportement, qui aura un lien avec ce que nous avons vu, en début de texte
Si vous ne faites rien, vous aurez une dégradation lente, qui vous conduira, pour bon nombres de cas, à une perte immunitaire. Cette perte immunitaire, se découvre sur une analyse de sang. Sur la feuille de résultat une courbe, si vous avez un pic, c’est le pic monoclonal, qui témoigne un manque immunitaire. Est là, c’est la porte est ouverte, à toutes sortes de bactéries.
Enfin ce qui est le plus rare, mais pas anodin : l’apnée du sommeil. Dans ce cas vous êtes bien immunisé, en parti, mais les agents agresseurs ont touchés votre régulateur de sommeil. Vous croyez dormir en fait non ou partiellement, si bien au levé vous êtes fatigué. Ce type peut entrainer des risques cardiaques. A surveiller, et, ne rien prendre à la légère.
Revenons au sportif, alors, me direz-vous, quel rapport avec le sport ? Un gros, je vous ai fait, ce schéma qui est un tableau noir de la vie active, mais aussi similairement au non active.
Quand un médecin vous demande, de bouger, de faire une activité sportive, pour évacuer cet excès, de stress qui vous lamine ; ce n’est pas une préparation pour un marathon ; mais d’une façon très ludique de faire évacuer cette pression journalière. Par une pratique sportive le plus ludique possible, suivit de la relaxation, qui vous apportera un bien-être, supplémentaire, vous éviteras bien des soucis que nous avons vu ci-dessus.
Dans ces moments votre plus gros ennemi c’est cette petite boite noir « IPhone », qui vous rappelle les mauvais moments de votre journée. Donc, on l’oublie ; il vous empêchera de dormir le soir, et le matin il vous agressera. Donc à utiliser modérément, même dans votre période de détente.
Si vous partez sur une programme général, que l’on trouve sur des illustrés sportives ; ce sont des guides, donc vous devez les personnaliser, afin qu’ils deviennent un plan personnalisé. Quand on n’est pas novice mieux vaut faire appel à un spécialiste, pour vous guider.
Maintenant pour des sportifs confirmés, cela peut se traduire, par une boulimie du km, ou du volume. Cette boulimie est due à un manque de confiance en soi, donc là encore de l’émotion négative, qui sera génératrice d’agresseur. Ces agresseurs, apporteront une fatigue physique supplémentaire, si bien ce qui aurait dû être un libérateur, aura un effet inverse, et sera l’allier d’une grosse fatigue, telle que le surentrainement.
Remède premier, prendre du recul, car vous n’êtes pas des professionnels dans le domaine du sport. La relaxation, ou de la sophrologie, que je ne cesse de parler, et dont j’ai donné des exercices de respiration, ou de la sophrologie qui est similaire, ou enfin, faire du Pilate, qui est plus axé sur de la gym douce.
Qu’est ce qui nous pousse, à des états comme je viens d’évoquer :
LA PEUR et l’ANXIETE qui font qu’une dans la réalité
Elles sont dans tous les cas, générateurs de stress. C’est vrai que sur compétition sportive, vous avez un stress avant le départ, mais qui s’évacue, dans les premiers km.
La peur, et, l’anxiété sont des générateurs du comportement ; qui vous conduit vers un comportement négatif aggravés, dans certains cas, qui peut être provoqué, par des éléments extérieur, ou intérieur si c’est une maladie.
Mettez-vous dans le positif, avec : Apaisement, tranquillité d’esprit, courage d’affronter, savoir dire NON, avoir de la compréhension.
En prenant du recul, en faisant de la relaxation, ou de la sophrologie, vous verrez, les effets bénéfiques. La prise de confiance en soi reviendra, et, sur le domaine sportif vous ferez moins, mais mieux
Max DUJEAN