ENTRER DANS SA ZONE DE DEPLOIEMENT
Nous approchons de la fin de la période estivale ; bon nombres d’athlètes vont bâtir, un projet sportif : sur un court terme, ou un moyen terme, ou un long terme. Nous allons avoir deux cas de figures ; que nous allons retrouver sur notre schéma ci-dessous.
- Qui sont ceux qui vont définir une zone de confort, sans prise de risques, ce sont ceux qui n’osent pas, ou la crainte du…. J’en passe. A très court terme, ils seront dans une satisfaction totale. Mais qui au fil du temps seront, pris sur une insatisfaction, du résultat ; le fameux : « Si j’avais su j’aurai fait ; mais je dois valoir…… La vérité l’athlète en question ne le saura pas, car non validé.
- Ensuite nous avons le deuxième cas. C’est un athlète qui fonce, car il accepte la prise de risque. Cette prise de risque aura pour effet, non pas sur court terme mais sur du moyen et long terme.
Le schéma ci-dessous vous explique, tout cela.
Mais ce n’est pas tout, car il faut associé, motivation et gestions de objectifs que nous allons développer .
Associer la motivation et la gestion des objectifs
Nous avons dans les deux cas ; un dynamisme comportemental différent ; mais qui seront, un critère de la motivation. D’un côté l’athlète, restera dans sa zone de confort, pour contourner, les effets de stress, ce qui est la stratégie de l’évitement, se complaire dans de l’endurance basic et fondamentale ; et de l’autre, l’athlète, sera suffisamment armé pour affronter, ce stress du aux séances d’intervalles, dans des zones qui sont autres que des zones de conforts, soit avec un entrainement alterné.
Comme vous le remarquez ; dynamisme comportemental et motivation, vont de paire. Nous aurons dans le premiers une perte d’énergie, du à la monotonie, qui aura pour incidence, une baisse de l’envie, donc une baisse d’avancer, d’où l’insatisfaction et le regret des choix : le ne pas «OSER».
Contrairement, à l’autre cas, sa ténacité aura pour effet un prolongement naturelle de son envie, donc cela deviendra pour lui sa raison d’être. Donc son O2 de soi, car il a «OSER». Cette prise, de risques contrôlés, aura, des effets secondaires, et bénéfiques, par la suite ; mais aussi dans sa vie personnelle, et professionnelle.
Donc vous voyer, que ce n’est pas aussi simple la planification, sportive ; là nous avons abordé un aspect comportemental, par la suite nous aborderons toujours, dans la psychologie sportive, comment restaurer cette motivation, mais les paramètres de la programmation, en utilisant la méthode de Christian Target.